En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Jean-François Lapointe

Donnée la dernière fois au Capitole en 2018, la production du metteur en scène et chorégraphe rencontre à nouveau le succès, avec une nouvelle distribution à la hauteur de l'enjeu.

Remplaçant Amadi Lagha dans le rôle de Don José, Jean-François Borras fait forte impression tandis qu'Héloïse Mas interprète une Carmen prudente mais au timbre très séduisant.

Les voix du Seigneur sont parfois inintelligibles : une panne de surtitrage a accentué les légers manques d'une belle production toulousaine des Dialogues des Carmélites.

Sans-faute à l'Opéra de Marseille : des deux rôles principaux aux derniers pupitres de l'orchestre, la version concert de l'opéra de Bellini est une réussite totale.

C’est un accueil triomphal que reçoit cette nouvelle production parisienne de La Traviata, placée sous le double signe de la jeunesse et des réseaux sociaux.

À l'Opéra de Monte-Carlo, Falstaff rencontre un grand succès dans la mise en scène fantasque de Jean-Louis Grinda. Nicola Alaimo propose une admirable incarnation du rôle-titre.

L’excellence d’Adriana Gonzalez dans L’Enfant prodigue est contrastée par les étranges adieux faits par Rani Calderon à Nancy.

Plasson montre toute son expérience ; la mise en scène de Lavaudant nous étonne et nous ravit ; une distribution de haute tenue chante de tout cœur. Que demander de plus?

Marquée à la fois d’un désir de lignagevet d’un profond souhait de modernité, la musique d’un Messiaen, d’un Stravinsky ou d’un Fauré posent inévitablement problème à tout interprète voulant rendre compte de la part éthique d’une esthétique.

Tannhäuser qui chante en français ? Il n’en fallait pas plus pour attiser notre curiosité et nous précipiter à l’Opéra de Monte-Carlo qui présentait pour la toute première fois depuis 1861 cette singulière version créée à cette date pour Paris.

L'Opéra de Marseille ouvre sa saison avec une production d'Hamlet d'Ambroise Thomas encore perfectible mais également pleine d'éléments positifs. 

Pour le dernier spectacle de la saison 2015/16, l’Opéra National de Lorraine a choisi une œuvre du répertoire, Lucia di Lammermoor, ce qui sans doute devait lui garantir à la fois une belle présence du public et un succès presque assuré. Pari réussi... seulement en partie.

Richesse de nuances tout à fait saisie par un Mikko Franck attentif, expressif mais toujours précis, et une distribution vocale enjouée – la sidérante Sabine Devieilhe en tête -  joignant volontiers le geste théâtral à l’envolée vocale, mais ne tirant jamais la couverture à soi.

De cette production, on ne gardera en mémoire que quelques belles émotions lyriques

Cecilia Bartoli leads a great cast in Gluck’s masterpiece, presented in Zurich in a new insightful production by Andreas Homoki.

An unforgettable evening at the Met as John Dexter's production of Poulenc's masterpiece is revived to close the season. 

Juan Diego Flórez plays the role for the first time on stage and it's a vocal triumph 

After showing in 13 theatres around the world, Robert Carsen’s Dialogues des carmélites returns again to Amsterdam, where it was premiered in 1997. Almost 20 years on, its finale remains a shattering theatrical experience.

A striking staging of Rossini's Guillaume Tell at the Grand Théâtre in Geneva: well cast, beautifully sung and impeccably choreographed.

An ultimately disappointing Fauré Requiem gave way to an outrageously funny performance of Poulenc's comic opera Les mamelles de Tirésias with the BBC Symphony Orchestra and Ludovic Morlot.