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Donnée la dernière fois au Capitole en 2018, la production du metteur en scène et chorégraphe rencontre à nouveau le succès, avec une nouvelle distribution à la hauteur de l'enjeu.

Quinze ans après le succès de la mise en scène de Nicolas Joël, Tristan et Isolde revient au Théâtre du Capitole avec un plateau renouvelé mais non moins déjà connaisseur de Wagner...

Sans transposer trivialement l’opéra de Puccini directement dans la contemporanéité, le duo de metteurs en scène offre une superposition de temporalités qui viennent enrichir la représentation.

Dans une nouvelle production qui a également valeur d'entrée au répertoire, l'œuvre de Dvořák bénéficie d'une mise en scène soignée et engagée, et d'interprètes tout aussi remarquables.

Dans la mise en scène sobre mais monotone d'Aurélien Bory, la création de Wolfgang Mitterer peine à retenir l'attention malgré la belle prestation des Cris de Paris.

Dernière production de la saison toulousaine, le Barbier mis en scène par Josef Ernst Köpplinger est un spectacle qui fourmille de détails réjouissants, défendu par une distribution en grande forme.

Le trio multigénérationnel situé au cœur de l'œuvre de Janáček se distingue malgré un déséquilibre entre la fosse et le plateau. Christian Carsten signe la reprise de la mise en scène de Nicolas Joël.

Quasiment deux ans après la fermeture du premier confinement, le Théâtre du Capitole offre enfin au public le fameux ballet bouffon, dans une excellente mise en scène de Corinne et Gilles Benizio.

Pour sa première mise en scène lyrique en cette période de fêtes, Pierre Rigal livre une production inaboutie du singspiel de Mozart, heureusement rehaussée par un plateau vocal convaincant.

Le Capitole accueille le chef-d’œuvre d’Alban Berg mis en scène par Michel Fau. Au sein de cette production de qualité, Stéphane Degout se distingue dans le rôle-titre.

Pour cette première de l'œuvre au Théâtre du Capitole et pour la reprise de la saison lyrique, l'ONCT accueille le chef Roberto Rizzi Brignoli et le metteur en scène Olivier Py, pour une production cohérente malgré des excès évitables.

Avec son orchestre sur scène, son plateau ensanglanté et son excellente distribution, l'Elektra haute en couleurs de Michel Fau vient clôturer la saison amputée du Théâtre du Capitole.

À Toulouse, le Théâtre du Capitole accueille à nouveau du public (non sans quelques aménagements) depuis le 23 mai, avec une belle Force du destin de concert, emmenée par Catherine Hunold.

Avec l’unique opéra de Gabriel Fauré Pénélope (1913), l'institution lyrique toulousaine démontre encore une fois ses capacités d'adaptation et l'excellence de ses productions.

Une première de l'année avec une œuvre fondamentale du répertoire, des changements notables qui marquent l'évolution du milieu musical : la reprise se fait sous de bons auspices, dans la mesure du possible, au Capitole.

Dans une production toulousaine de 2001, l’opéra de Donizetti revient sur les planches du Théâtre du Capitole et marque essentiellement par la belle composition du duo Paolo Fanale – Vannina Santoni.

Le célèbre opéra de Wagner était très attendu au Théâtre du Capitole, dans une production nouvelle et locale, menée par le metteur en scène toulousain Aurélien Bory et la baguette de Frank Beermann.

Les voix du Seigneur sont parfois inintelligibles : une panne de surtitrage a accentué les légers manques d'une belle production toulousaine des Dialogues des Carmélites.

Avec Werther, le Théâtre du Capitole revient à des tonalités connues mais non moins agréables. La mise en scène de Nicolas Joël, reprise par Frédérique Lombart, éclaire parfaitement cette oeuvre romantico-tragique.  

Sous la direction de Christophe Grapperon, l’opérette d’Hervé fait son entrée au répertoire du Théâtre du Capitole. Une production amusante malgré des références lourdes au contexte daté de l'ouvrage.

Le Théâtre du Capitole accueille pour la première fois et dans une nouvelle production l’unique opéra de Paul Dukas : Ariane et Barbe-Bleue. Dans une mise en scène de Stefano Poda et sous la direction de Pascal Rophé.

Le metteur en scène Michel Fau ne répond pas à toutes les questions que suscite l'ouvrage bipartite de Richard Strauss. Sous la direction énergique d'Evan Rogister, la distribution suscite l'enthousiasme.

L’œuvre de Donizetti entre au répertoire du Théâtre du Capitole : une réussite quasi-parfaite, portée par la mise en scène d'Emilio Sagi et par un plateau vocal d'une qualité exceptionnelle.

Dans le cadre de sa collaboration avec le Festival d’Automne à Paris et le Théâtre du Capitole, le Théâtre Garonne de Toulouse programme cette année Kopernikus, un rituel de mort, opéra en deux parties de Claude Vivier.

Au Théâtre du Capitole de Toulouse, la ténébreuse Ville morte de Korngold est allégée par la mise en scène de Philipp Himmelmann. Direction musicale souple et plateau vocal équilibré complètent la production.

Pour la reprise de la saison lyrique au Capitole, la Traviata faisait office de figure de proue pour un lancement qui se promettait des plus intenses sous la direction musicale de George Petrou.

La Clémence de Titus fait son retour sur les planches du Capitole, dans une mise en scène de David McVicar rendant parfaitement service au livret et à la psychologie des voix.

Macbeth de Verdi revient sur les planches toulousaines plus de 20 ans après sa dernière représentation dans une magnifique coproduction.

La toute nouvelle production de Carmen proposée au Théâtre du Capitole relève d’un subtil mélange d‘innovation et de tradition.

Le Théâtre du Capitole accueillait Christophe Rousset et sa troupe pour l’Orphée et Eurydice de Gluck, avec un remarquable Frédéric Antoun dans le rôle d'Orphée.

Pour le premier opéra 2018 et la reprise de la saison lyrique, la première des quatre journées du cycle lyrique du compositeur Richard Wagner marquait son grand retour sur la scène toulousaine dans sa production d’avril 1999.

La mise en scène de Nicolas Joël de La Rondine est de retour au Capitole avec un nouveau plateau d'artistes.

Opéra fort peu connu d’Eugen d’Albert, Tiefland inaugure la nouvelle saison lyrique du Théâtre du Capitole servi par un plateau vocal international et convaincant. 

Point de cujus regio ejus religio au Capitole pour l’œuvre de Meyerbeer, illustrant la vie de Jean de Leyde d’après les écrits voltairiens. Saisi et bloqué dans la violence des guerres entre l’ancienne et la nouvelle religion, l’épisode est mis en scène de façon grandiose pour cette dernière et nouvelle production de la saison lyrique toulousaine. 

Adaptation du roman littéraire de Sir Walter Scott, l’opéra de Donizetti est créé en 1835, équilibrant parfaitement action scénique romantique et nécessités du bel canto. Dans la veine du livret de Salvatore Cammarano, Nicolas Joël choisi une mise en scène classique.

La réunion inédite de 9 grandes institutions françaises permettait à ce nouvel opéra de voir le jour. Adaptation de l’œuvre de Copi, ouvragée en 1977, l’opéra a été réalisé par deux autres membres de l’immigration de Buenos Aires en France : Martin Matalon et Jorge Lavelli.

Adaptation de l’œuvre de Victor Hugo, l’Ernani de Verdi capte les tensions de la société d’Ancien Régime révélée par un amour impossible entre Elvire et ses trois prétendants le roi Don Carlo, le vieux duc Donc Ruy Gomez de Silva et celui qu’elle aime en secret Ernani. Les adeptes du bel canto seront servis durant cette soirée.

Pour le milieu de la saison lyrique, on retrouvait une nouvelle fois Tito Ceccherini à la tête de l’Orchestre du Capitole pour diriger l’Enlèvement au Sérail. 

Pour la production de ce Candide, le Capitole recevait un plateau et une équipe presque entièrement issus des milieux américains, faisant souffler dans l’enceinte du théâtre un vent de fraîcheur et de nouveauté.

Hector Berlioz reprenant Shakespeare, Richard Brunel et Catherine Ailloud-Nicolas Hector reprenant Berlioz. La production choisit de revenir dans les dialogues parlés au plus près de l’oeuvre originale.

La production reprenait mise en scène, décors et costumes de la création toulousaine 2008-2009 amenée à l’époque par Michel Plasson et Nicolas Joel, et qui avait connu un succès certain, des Chorégies d’Orange à la ville rose. La part d’inconnue résidait surtout dans le plateau et l’individualité des voix.

L’œuvre de Rossini donnait l’occasion à la mise en scène (Laura Scozzi) d’explorer les réminiscences contemporaines offertes par le livret d’Angelo Anelli. L’angle choisi est celui des relations, plutôt conflictuelles et violentes entre hommes et femmes.

La mise en scène de Marco Arturo Marelli et Enrico De Feo se veut fondamentalement ancrée dans le contexte historique de la création de l’œuvre mozartienne.

L’association prometteuse de William Christie des Arts Florissants avec le metteur en scène Robert Carsen ambitionnait de restituer sur instruments d’époque l’opéra-ballet du compositeur français André Campra (1660-1744). Pari réussi.

Opéra fort peu connu d’un compositeur pourtant en vogue en son temps Les Caprices de Marianne d'Henri Sauguet est composé en 1954 sur une adaptation d’une pièce d’Alfred de Musset (1833). Sous les cendres et le Vésuve en feu, l’amitié semble triompher des turpitudes de l’amour, et ce par-delà la mort.

Fort d’un public acquis à l’œuvre de Verdi, le Théâtre du Capitole renoue une nouvelle fois avec le compositeur italien sous la baguette érudite de Daniel Oren, prédicateur du génie révolutionnaire désormais habitué à la scène toulousaine.

Pour la première affiche de la saison, le Théâtre du Capitole accueillait deux opéras en un acte. Si les deux œuvres sont fort éloignées sur le plan du style et du langage, leur lien apparait à la lumière de leur contexte de création. 

La saison lyrique du Théâtre du Capitole s’achevait avec le dernier des opéras de Puccini : Turandot, œuvre inachevée, terminée par son compatriote Franco Alfano.

Près de 42 ans après la création de l’oeuvre en langue française, sous la baguette de Michel Plasson à Strasbourg, le Théâtre du Capitole accueillait l’oeuvre du compositeur russe dans sa nouvelle version échaffaudée et présentée lors du début d’année 2011.