Georgiana Hatara a une formation pluridisciplinaire, en lettres modernes et linguistique, théâtre, cinéma et musicologie. Dans le cadre de ses études en musicologie, elle a notamment suivi au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris des cours d’esthétique et d’histoire de la musique, ainsi que d’analyse approfondie de musiques de films dans leur rapport à l’image (son domaine de prédilection). Elle a également suivi à l’Ecole Normale Supérieure des cours qui lui ont permis d’explorer le rapport que la musique entretient avec d’autres arts, comme la poésie et la danse, ou avec la philosophie.
La production a connu une première à l'arrière-goût d'inachevé, un préavis de grève ayant transformé la nouvelle production de Robert Carsen en version de concert – non sans qualités cependant.
Le contre-ténor et ses complices ont livré un concert de haut vol, s'aventurant aussi bien dans des danses endiablées que dans des pages bouleversantes...
La production de Paul-Emile Fourny fait enfin ses débuts à l’Opéra de Massy, avec un duo principal qui ne manque pas de qualités mais peine à trouver l'alchimie qu'exige l'œuvre de Bizet.
Soirée de grâce pour l'âme lyrique vivaldienne au Théâtre des Champs-Élysées, en compagnie du Concert de la Loge, Philippe Jaroussky, Emőke Baráth, Lucile Richardot et Emiliano Gonzalez Toro.
Après un mois et demi d'annulations successives, l'Opéra de Paris a rouvert ses portes pour l'œuvre d'Offenbach, dans la célèbre mise en scène de Robert Carsen, toujours aussi ingénieuse.
Dans cette reprise d'une production créée en 2016, Bo Skovhus est magistral dans le rôle-titre. L'œuvre s'avère une nouvelle fois un des moments forts de la programmation de l’Opéra de Paris.
Dans la mise en scène de Warlikowski créée en 2017, Don Carlo est de retour à Bastille, cette fois-ci dans sa version italienne. Une franche réussite malgré l'état grippal de Roberto Alagna.
I Puritani ouvrent la saison de l'Opéra Bastille. Si la mise en scène de Laurent Pelly déçoit, les chanteurs se distinguent, Elsa Dreisig et Javier Camarena en tête.
La mezzo-soprano Bernarda Fink et le pianiste Roger Vignoles ont proposé à l’Auditorium du Musée d’Orsay un récital qui clôturait la première année de l’Académie Orsay-Royaumont, dédiée à la mélodie et au lied.
Dans la mise en scène de Robert Carsen, le célèbre opéra de Mozart fait un retour remarqué à l'Opéra national de Paris, avec un grand Florian Sempey en Papageno.
L'Opéra Royal de Versailles donne Il ritorno d'Ulisse in patria de Monteverdi, dans la production créée en 1998 par William Kentridge. Les marionnettes font toujours leur effet mais la vidéo laisse parfois dubitatif.
La Philharmonie invite le Bolchoï : sous la direction de Tugan Sokhiev, solistes, orchestre et chœurs de l'institution russe ont délivré une extraordinaire version de concert d'Ivan le terrible, opéra de Rimsky-Korsakov.
L’Orchestra of the Age of Enlightenment et la mezzo-soprano Magdalena Kožená ont proposé mercredi dernier au Théâtre des Champs-Elysées un concert-récital de haut vol, entre Symphonie n° 40 de Mozart et airs classiques.
Le Théâtre des Champs-Elysées propose une version concert d'Arabella, de Richard Strauss. Une soirée portée par une distribution de rêve dans laquelle se distingue Anja Harteros.
À la Royal Academy of Music, Semele de Händel offre une expérience jubilatoire et rafraîchissante. Mise en scène ingénieuse et jeunes chanteurs talentueux sont au menu de cette production.