Après des expériences au sein des services éditoriaux de la Cité de la Musique et du Festival de Radio France Occitanie Montpellier, Emma a occupé les fonctions de responsable communication pour l’Orchestre philharmonique de Strasbourg. Depuis le printemps 2021, elle est correspondante locale à Berlin pour le média des Français et francophones à l’étranger, lepetitjournal.com. Pianiste de formation, elle a également été choriste au sein de plusieurs ensembles en Ile-de-France et à l’étranger. Elle garde un fort attachement à la scène musicale et trouve son équilibre en couvrant les productions des maisons de concerts et d’opéras de la capitale allemande pour Bachtrack.
Comique et extravagance olé olé sont les mots clés de cette production réjouissante signée Barrie Kosky et incarnée par une distribution aux multiples talents...
Pour son baptême du feu avec la formation berlinoise, le jeune pianiste et chef russe a marqué les esprits, de même que Sabine Devieilhe dans un programme 100% mozartien.
Mettant à l'honneur plusieurs œuvres rares, ce programme des Berliner Philharmoniker dirigés par le chef français nous plonge dans un univers mélancolique illuminé par la performance de la violoniste allemande.
Dirigés par le chef colombien Andrés Orozco-Estrada, on retrouve les musiciens de la Staatskapelle de Berlin et Renaud Capuçon pour la création de Layal, pour violon et orchestre du Toulousain Benjamin Attahir.
Le programme choisi par Sir George Benjamin pour le DSO nous plonge dans les théories modernes de l’utilisation du son orchestral, de Paul Dukas à Benjamin lui-même, avec le concours efficace de Cédric Tiberghien.
Cette création-hommage à la Callas reprend les arias les plus célèbres de la chanteuse, habilement tissés entre eux par la musique de Marko Nikodijević et la présence de Marina Abramović.
Les couleurs du drapeau ukrainien ont habillé les murs de la célèbre Philharmonie de Berlin en ce 25 février. Les artistes ont dédié la Deuxième Symphonie de Mahler aux victimes de la guerre.
Le fameux Ball im Savoy de 2013 fait son retour dans la mise en scène de Barrie Kosky mais aussi avec la distribution de l'époque, donnant lieu à des retrouvailles aussi réjouissantes qu'émouvantes.
Pour trois représentations, le Staatsoper Unter den Linden hisse le drapeau du baroque en affichant la désormais célèbre mise en scène de Didon et Énée par la chorégraphe allemande Sasha Waltz.
Barrie Kosky, qui célèbre sa dixième et ultime saison à la tête du Komische Oper, se fait un petit plaisir en reprogrammant la production créée en 2017, qui n'a pas pris une ride.
Le Ballet Royal du Cambodge sera à la Philharmonie de Paris les 18 et 19 mai prochains. Retour sur l'histoire de cette compagnie immortalisée par Rodin et désormais inscrite au patrimoine immatériel de l’humanité.
Un classique au programme de l’opéra de Rome, puisque c’est la huitième année que Nabucco est donné en représentation dans le cadre des thermes de Caracalla ; l’œuvre de Verdi ne cesse pour autant de ravir les oreilles du public romain.
Si le Teatro all’Opera de Rome a souvent fait preuve de conformisme par le passé, l’audace des productions de la saison 2016/2017 lui redonne un nouveau souffle. Après une Maria Stuarda magnifique c’est au tour de Lulu, chef-d’œuvre d’Alban Berg qui n’avait pas été donné à Rome depuis 1968, d’occuper la scène du Teatro dell’Opera.
L’Orchestre Symphonique National de la Rai et son chef, James Conlon, ont occupé la scène de l’Auditorium Parco della Musica pour une soirée entièrement dédiée au compositeur tchèque Antonín Dvořák.
L'orchestre et le chœur de santa Cecilia ont marqué la fin de la Semaine Sainte d'un grand moment de musique et de spiritualité avec ce bel hommage au Cantor de Leipzig.
Pour leur troisième soir de représentation, les musiciens de l’Accademia Nazionale di Santa Cecilia et Ton Koopman ont offert au public de l’Auditorium Parco della Musica une performance faite de rigueur et de complicité.
Difficile exercice que celui du drame lyrique pour deux Prima Donna qu’est Maria Stuarda. Il ne fallait pas moins que le talentueux duo constituait de la soprano lettone Marina Rebeka et de sa sœur de scène l’italienne Carmela Remigio pour donner ses lettres de noblesses à ce modèle de bel canto qui n’avait pas été donné sur les planches de l’Opéra de Rome depuis 2006.
Au cours des dix dernières années une douzaine d’écoles de musique ont ouvert leurs portes dans les rues de Phnom Penh. Ici, on n’a pas peur de dire que la musique fait du bien.