Maître de conférences en histoire ancienne à l'Institut Catholique de Toulouse, Arnaud enseigne également à l'Université Toulouse II et à l'Institut National Universitaire d'Albi. Passionné de musique, violoniste et pianiste, il a poursuivi en parallèle de ses études en histoire un cursus au Conservatoire de Toulouse et y a obtenu plusieurs prix. Ses recherches portent sur l’histoire des religions antiques et notamment sur l’utilisation de la musique dans le cadre des cultes polythéistes.
Donnée la dernière fois au Capitole en 2018, la production du metteur en scène et chorégraphe rencontre à nouveau le succès, avec une nouvelle distribution à la hauteur de l'enjeu.
Quinze ans après le succès de la mise en scène de Nicolas Joël, Tristan et Isolde revient au Théâtre du Capitole avec un plateau renouvelé mais non moins déjà connaisseur de Wagner...
Fruit d’une collaboration entre le Palazzetto Bru Zane et l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, la production restaurait le célèbre opéra-bouffe de Jacques Offenbach dans sa version initiale de 1866.
Sans transposer trivialement l’opéra de Puccini directement dans la contemporanéité, le duo de metteurs en scène offre une superposition de temporalités qui viennent enrichir la représentation.
À l’invitation de l’Orchestre de Pau Pays de Béarn, Ibrahim Maalouf est revenu avec succès au répertoire classique, mais la rencontre avec la cheffe allemande Johanna Malangré a manqué de synergie.
Dans une nouvelle production qui a également valeur d'entrée au répertoire, l'œuvre de Dvořák bénéficie d'une mise en scène soignée et engagée, et d'interprètes tout aussi remarquables.
Artiste en résidence au festival L'Offrande musicale, Renaud Capuçon a offert une belle prestation de chef-violoniste, bien secondé par le jeune altiste Paul Zientara et l'ONCT en petit effectif.
Dans le cadre de la programmation du festival haut-pyrénéen L’Offrande musicale, un concert augmenté d'une projection du vidéaste Antoine Wagner était proposé dans la Halle Marcadieu.
Dernière production de la saison toulousaine, le Barbier mis en scène par Josef Ernst Köpplinger est un spectacle qui fourmille de détails réjouissants, défendu par une distribution en grande forme.
Le trio multigénérationnel situé au cœur de l'œuvre de Janáček se distingue malgré un déséquilibre entre la fosse et le plateau. Christian Carsten signe la reprise de la mise en scène de Nicolas Joël.
Quasiment deux ans après la fermeture du premier confinement, le Théâtre du Capitole offre enfin au public le fameux ballet bouffon, dans une excellente mise en scène de Corinne et Gilles Benizio.
L'Orchestre de Pau Pays de Béarn proposait une série de concerts autour de l'Arménie avec un programme à la fois issu du répertoire et intégrant des compositions et arrangements originaux de Cyrille Lehn.
L’unique opéra de Debussy surprend agréablement, la qualité de la distribution et de la mise en scène de Patrice Caurier et Moshe Leiser compensant largement la réduction de l'orchestre au seul piano en accompagnement.
Pour ce premier concert de l'année 2022, le Théâtre du Capitole proposait un retour aux sources avec un concert entièrement dédié à Monteverdi et à ses madrigaux, entre canti guerrieri et canti amorosi.
Pour ce premier concert de 2022, la pandémie n'a pas manqué de se rappeler à chacun.Au Parvis, l'ONCT, Aylen Pritchin et Maxim Emelyanychev ont dû réinventer le programme de la soirée !
Pour sa première mise en scène lyrique en cette période de fêtes, Pierre Rigal livre une production inaboutie du singspiel de Mozart, heureusement rehaussée par un plateau vocal convaincant.
Le Capitole accueille le chef-d’œuvre d’Alban Berg mis en scène par Michel Fau. Au sein de cette production de qualité, Stéphane Degout se distingue dans le rôle-titre.
À la tête de la phalange bordelaise, la jeune cheffe italo-turque dirige avec énergie et un agréable sens du partage un programme consacré à Saint-Saëns et Beethoven.
Pour cette première de l'œuvre au Théâtre du Capitole et pour la reprise de la saison lyrique, l'ONCT accueille le chef Roberto Rizzi Brignoli et le metteur en scène Olivier Py, pour une production cohérente malgré des excès évitables.