Après des études en lettres et musicologie ainsi qu’un master d’école de commerce, Julie Jozwiak s’est consacrée à la production de concerts classiques. Elle est harpiste, choriste et violoniste, mais se définit surtout comme mélomane passionnée, et affectionne aussi beaucoup la danse classique qu’elle a longtemps pratiquée. Son amour inconditionnel du spectacle vivant l’incite à se rendre quasi quotidiennement au concert, à l’opéra, au ballet, au théâtre…ou à tout autre type de performance scénique.
Au Théâtre de Chaillot, le chorégraphe déroute dans Vessel, sculptant les corps des danseurs sans jamais laisser voir leurs visages. Une expérience atypique, unique et incontournable.
une maison de Christian Rizzo est avant tout un lieu foisonnant de vitalité, traversé par des énergies multiples qui se rencontrent, s’influencent, s’apprivoisent parfois mais s’expriment surtout grâce à leur confrontation à autrui.
Le Festival d’Automne 2019 propose un dernier spectacle centré sur la figure de Merce Cunningham avec le Ballet de l’Opéra de Lyon, comprenant une œuvre psychédélique d'Alessandro Sciarroni.
Le L.A. Dance Project présente un programme où quatre esthétiques fondamentalement différentes se côtoient : une conception artistique très intéressante. Retour sur la variété de ces écritures contemporaines made in L.A.
Merce Cunningham est mis à l'honneur par le Festival d'Automne. À Chaillot, le CCN Ballet de Lorraine et ses directeurs, Petter Jacobsson et Thomas Caley, rendent un bel hommage au chorégraphe américain.
Avec Pile of Bones, Stephanie Lake exprime sa vision du monde au Théâtre National de Chaillot, poussant le corps humain jusque dans ses plus intimes tressaillements.
"Rassembler les peuples au-delà de tout clivage politique" : la culture coréenne dépasse la frontière du milieu, et Eun-Me Ahn nous en montre toutes les richesses, à travers un spectacle aux chorégraphies variées et aux costumes expressifs.
Le concept de Skid ? Des danseurs lâchés sur une pente inclinée à 34°. Et pourtant, ce n'est pas l'idée de force, mais celle de fragilité qui domine le spectacle... Une performance troublante d'intelligence et de beauté.
Le LA Dance Project présente à Paris trois ballets de Benjamin Millepied, dont une création mondiale. Une soirée passionnante, où se côtoient des univers bien distincts, tous très prenants, et magistralement interprétés.
Deux ans après leur hilarant Idiot-Syncrasy, Igor et Moreno reviennent à Paris pour présenter un spectacle d'un tout autre genre, tourné vers la méditation et l'épuisement du geste. De quoi laisser le public un peu dubitatif.
Dans son Roméo et Juliette, Preljocaj propose une relecture du mythe fondée sur la violence ; violence de l'habitat, violence sociétale, violence dans la manière d'aimer, qui débouche sur la mort... Une proposition qui pourrait être intéressante mais peine à convaincre dans sa globalité.
Tuer ou être tué... Là est la question du saisissant spectacle SHOW de Hofesh Shechter, explosion d'énergies et de pulsions parfois macabres mais fondamentalement cathartiques.
Peu importe le mauvais temps, peu importe les manifestations et récriminations : Rain est le meilleur des remèdes contre tous les maux, une vraie déferlante de bonne humeur et de vitalité. Lumineux, irrésistible… plus vital que jamais !
La collaboration d'Anne Teresa de Keersmaeker et de Jean-Guihen Queyras autour des Suites pour violoncelle seul de Bach ne pouvait que produire un résultat exceptionnel. La beauté ineffable de la musique de Bach a pris forme et nous a révélé les profondeurs de nos propres émotions à travers les mouvements épurés des danseurs. Une expérience touchant au sublime.
Malgré son aspect stylistique globalement peu convaincant, nul doute que l’on retiendra au moins de Solstice ce cri d’alerte asséné par Blanca Li : « c’est le moment d’agir ».
Le Russian National Orchestra était à la Philharmonie de Paris le lundi 15 mai 2017, sous la direction de Mikhail Pletnev. C’est un compositeur polonais peu connu qui ouvrait le programme – à savoir Mieczyslaw Karlowicz ; la suite de la soirée, elle, était bel et bien russe, avec un concerto de Chostakovitch et une symphonie de Tchaïkovski.
Jeudi 4 mai 2017, Leonidas Kavakos devait jouer sur la scène de la Philharmonie de Paris avec le Royal Concertgebouw Orchestra d'Amsterdam. Malheureusement, pour des « raisons personnelles », le violoniste virtuose a dû renoncer au concert quelques jours avant, laissant sa place à Isabelle Faust.
Le 5 avril marque les débuts de Jérémie Rhorer avec l’Orchestre de Paris. Entre l'Ouverture de « Polyeucte » de Dukas, le Concerto de Schumann joué par Francesco Piemontesi et la quatrième symphonie de Mendelssohn, le chef a l'occasion de faire ses preuves. Un programme haut en couleurs qui se révèle parfaitement maîtrisé !